C’est avec une grande fierté que je m’adresse à vous à titre du plus jeune maire de l’histoire de Laval.
Mes nombreux stages à l’étranger et mes voyages dans des pays en voie de développement m’ont convaincu de la nécessité, pour les personnes élues, de chercher des solutions concrètes et innovantes pour servir la communauté. Ainsi, pour Laval, j’ai une vision d’une ville :
- sécuritaire et familiale
- verte et durable
- attrayante, dynamique et ouverte sur le monde
Je vous remercie de votre confiance et je m’engage à travailler pour vous au meilleur de mes compétences, en gardant toujours le bien public comme boussole et comme phare pour me guider.
Pour les quatre années à venir, continuons… ensemble!
Biographie
Stéphane Boyer est avant tout un citoyen engagé pour sa communauté et pour sa ville. Il base cet engagement sur :
- une volonté de rendre à la population des services de qualité et de proximité avec efficacité
- une détermination à protéger et à mettre en valeur la qualité de l’environnement
- une résolution à bâtir une ville solidaire et sécuritaire
- une énergie à stimuler le dynamisme économique et l’attractivité de Laval.
Auteur, entrepreneur et ancien travailleur en aide internationale, Stéphane Boyer est ouvert sur le monde et résolument engagé à ce que Laval prenne sa place au Québec, au Canada et dans le monde. Il a d’ailleurs été identifié comme l’un des 50 leaders mondiaux de demain par le gouvernement français.
Il est pragmatique et au service de la population, basant ses décisions sur la recherche du bien public.
Entrevue avec Stéphane Boyer
Stéphane Boyer s’est prêté au jeu de l’entrevue dans l’édition printanière 2022 du bulletin municipal Vivre à Laval. Au fil d’une entrevue exclusive, le nouveau maire de Laval s’est livré avec authenticité, permettant à la population de découvrir la personnalité de celui qui préside désormais aux destinées de la troisième ville en importance au Québec.
Ce qui m’a motivé à faire le saut de conseiller municipal à maire, ce sont tous les beaux projets en préparation qui vont bonifier les services offerts à la population lavalloise, des projets qui me passionnent et auxquels j’ai envie de participer.
J’ai passé trois ans de ma vie à vivre dans des pays en voie de développement et j’ai réalisé que, qu’on aime la politique ou pas, les choix que les gouvernements font ont un impact important sur nos vies. Je souhaite contribuer à cette prise de décision, à cette réflexion.
Je dirais être à l’écoute. Dans une société, chaque personne est différente, avec son propre point de vue et sa façon de voir la vie. Mais quand tu occupes la mairie d’une ville, tu te dois de représenter le plus grand nombre de citoyens et citoyennes possible. Bien sûr, tu viens en portant une vision, un idéal pour ta ville. Mais tu dois être sensible aux autres points de vue et être capable de prendre le pouls du terrain. Il faut être à l’écoute de la population, des membres de son équipe, du conseil municipal et de l’administration publique.
Dans une démocratie, il y a plein de personnes qui mettent la main à la pâte. Ce qui fait qu’on tend vers une direction ou une autre pour une décision ou un projet donné dépend de la vision de la personne à la mairie et de celle de l’administration, des débats entre conseillères et conseillers municipaux et des commentaires faits par la population durant les consultations publiques. En fait, la politique, c’est une collision d’idées et de valeurs. Tout ça se mélange et finit par donner un résultat.
Je suis quelqu’un d’assez progressiste : tout ce qui touche l’environnement et le développement social me tient à cœur.
La culture est aussi une valeur très importante pour moi. J’aimerais faire de Laval une ville encore plus artistique et culturelle. L’art et la culture, c’est ce qui donne de la saveur au quotidien, qui permet aux gens de vivre des émotions et de créer des liens entre eux. Une ville sans émotions et sans liens sociaux, c’est un peu ennuyeux. C’est donc essentiel de développer cet aspect-là.
Cela dit, j’ai également un côté très pragmatique, très axé sur les sciences et l’efficience, très entrepreneur.
Nelson Mandela est quelqu’un qui m’a beaucoup inspiré. J’ai vécu trois mois en Afrique du Sud en 2004. J’étais un jeune Blanc qui habitait dans un bidonville noir quelques années après la fin de l’apartheid, et cette expérience a été extrêmement marquante dans ma vie. Je trouve très inspirant le fait que M. Mandela ait réussi à aller au-delà de sa frustration personnelle, au-delà de la manière dont il était traité en raison de la couleur de sa peau, pour rassembler les gens et changer la société sud-africaine.
Ce n’est pas exactement un conseil politique, mais je dirais que Marc Demers a été un bon modèle pour moi. Il a toujours su faire confiance aux gens qui l’entouraient, aux autres élus, au personnel de la Ville et aux citoyens et citoyennes. Il n’a pas cherché à imposer ses idées en frappant du poing sur la table. C’est un bel exemple de leadership.
Le plus grand atout de Laval est son potentiel. Laval est une ville qui est jeune et dynamique, une ville qui connaît une bonne croissance économique et démographique, qui vit une effervescence culturelle depuis quelques années. Je pense vraiment qu’elle a l’avenir devant elle.
Son plus grand défi est la lutte contre les changements climatiques. À Laval, la majeure partie des émissions de gaz à effet de serre provient des transports. Il faut donc, entre autres, voir comment nous pouvons repenser les façons dont nous nous déplaçons.
Je la vois verte, entourée d’un grand refuge faunique et dotée d’un réseau de voitures électriques en libre-service.
Je la vois attrayante, familiale et inclusive, avec des quartiers animés et vibrants, une vie culturelle dynamique, un réseau d’établissements d’enseignement supérieur développé, une histoire mise en valeur.
Bref, je la vois comme un modèle à suivre.
Joindre le maire
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